Aujourd’hui, le 19 mars 2020
« Le Miracle, c’est un artiste qui partage à un autre » Julia Cameron
- Pour lire la suite de ma biographie, cliquez ici– Mais c’est toujours mieux de lire le chapitre 1 en entier.
Bonjour, chers camarades créatifs de cœur ou de vie, à l’occasion de mon anniversaire. 29 années de vie déjà et encore tant à vivre. J’écris exceptionnellement cet article autobiographique pour immortaliser la dernière année de ma deuxième décennie et la septième année de ma vie créative.
Je me présente :

Je viens vers vous entant qu’un être vivant parmi tant d’autres.
J’ai 29 ans, je suis dessinatrice et blogueuse autodidacte. Adepte du journal intime et des journaux créatifs. Depuis mon enfance, j’ai toujours aimé écrire. Je dessine depuis 2017.
Mes disciplines créatives : l’écriture (des poèmes, des récits), Zentangle, Mandala, Kawaii, coloriage.
Mon style de créations :
Plutôt « naïf », le monde de l’enfance m’inspire beaucoup (la spontanéité, l’insouciance, le fantaisiste, le fantastique, l’imaginaire, le passionné, inspiré par les jeux et les dessins animés).
Je redécouvre et vous fais redécouvrir avec plaisir le matériel artistique basique de notre enfance (stylos, crayons de couleurs, et feutres). Avec du recul et plus de maturité, je retravaille le coloriage. J’introduis beaucoup de motifs dans mes dessins. Le noir et le blanc sont aussi des coloris que j’utilise pour le traçage et le coloriage.
Je développe ma pratique créative « en pleine conscience ».
Je porte un intérêt particulier pour les techniques de développement personnel pour améliorer mon inspiration et mon intuition créative.
Je suis une grande lectrice de livres de développement personnel.
Je me pose beaucoup de questions sur le sens de la vie.

En ce moment, les techniques japonaises telles que l’Ikigai, le Wabi-Sabi (l’art de l’imperfection) m’intéressent tout spécialement car elles permettent de donner un sens à ce chemin de vie qui nous met dans tous les états.
Moi dans la vie
Je suis une femme et une maman comblée dans ma vie de tous les jours. Je suis passionnée par l’art, la créativité et le développement personnel.
J’aime lire, écrire, dessiner et (re)découvrir.
Je me décrirais comme une personne sensible, émerveillée avec un brin de naïveté et de maladresse. Je rêve « d’une vie en rose » et « je crois que rien n’est impossible ».
Au delà de tout ce cheminement créatif, dans ma vie intérieure, je suis encore en quête d’équilibre.
Ma pratique artistique m’a permis de m’accepter et de me connaître. C’était un médiateur de développement personnel dans mon épanouissement psychologique et intellectuelle. C’est pour cela que tout ce qui concerne l’art-thérapie me touche tout particulièrement.
Dans un cheminement personnel, j’ai décidé en 2017 de créer mon blog pour partager mes passions, mes expériences créatifs et mon développement créatif.
Mes passe-temps favoris :
- aider mon enfant à développer sa créativité en l’accompagnant dans des ateliers créatifs et artistiques, en l’emmenant aux musées, en jouant avec lui, en le proposant des activités créatifs et artistiques en participant avec lui, en révisant avec lui.
- regarder des dessins animés avec mon fils, des comédies et des animations
- faire des lèche-vitrine
- me faire une beauté : renouveler ma garde robe, aller chez le coiffeur, me pouponner à la maison
- écrire dans mon journal intime
- dessiner des croquis
- me promener
- faire du sport
- prendre des photos
- tricoter
Mes objectifs :
- Faire des rencontres enrichissantes artistique ou non.
- « Vivre » ma passion : Je souhaite transmettre Ce qui me soulève vers le Haut.
I have a dream
J’ai un rêve très cher que j’espère fortement réaliser avant que mon heure de fin fatidique arrive – pour être moins hard, mais avouons-le, nous n’avons qu’une vie à vivre sur cette terre.
Ce rêve est de pouvoir « aimer » jusqu’à la fin de ma vie.
A vrai dire, le mot Amour et son verbe Aimer sont deux mots que j’aime beaucoup. Pourtant ce n’est pas pour autant que je peux prétendre savoir les utiliser dans ma vie de tous les jours.

Si je devais donner une simple définition du mot aimer, ce serait «donner».
« Donner », oui mais comment donner ? A qui donner ? Pourquoi donner ? Quoi donner ? C’est toute une histoire.
Et c’est un peu l’histoire de ma vie aussi que je choisis de vous donner ici.
Je n’écrirais que le plus bref de :
- mon parcours scolaire (banal et atypique),
- mon parcours professionnel (ou personnel) – entendez-le comme vous le souhaitez,
- mon parcours créatif,
- mes projets professionnels en cours de cheminement. – « Rien n’est figé dans le marbre »
Un parcours atypique : c’est mon choix
Mon Flow nostalgique
« La vie est un chemin qu’il faut continuer, quel que soit l’état de la route … » Réplique du film mes garçons sont de retour de Scott Hicks
La créativité et moi
J’ai toujours eu un intérêt personnel pour l’art.
À l’école mes matières préférées étaient littéraires.
Je lisais déjà beaucoup depuis mon jeune âge encouragé par mes parents et mes grands-parents.
Mon désir « secret » était d’être dotée d’un talent créatif.
À part ma mère qui savait dessiner mais qui n’a jamais exploité ce talent plus amplement et mon frère qui a un talent fou pour le dessin et qui continue à pratiquer de temps en temps, personne ne dessine dans la famille à ma connaissance.
J’ai toujours été une adepte du journal « intime » et des carnets créatifs depuis mon enfance. J’étais toujours tentée de créer des petites choses, j’aimais inventer des histoires et les écrire, j’aimais tisser les scoubidous, faire de la couture (un tout petit peu) et du collage.
Malgré mon attirance pour les activités créatives et un peu de pratique, je ne pensais pas avoir un talent particulier. De plus, je ne pensais pas être dotée de qualités pour être une personne créative ou pour être une artiste.
Comment les autres me voyaient ?
On pouvait même me trouver les pires défauts : zéro curiosité, paresseuse, bizarre, complexée, impatiente et capricieuse.
Dans mes bulletins scolaires, les profs me trouvaient « trop » réservée. Ils considéraient que je pouvais faire mieux que ce que je faisais.
Hyper-créative et l’école
Au lycée, j’ai continué à écrire mais de moins en moins. J’avais arrêté de bricoler. Comme beaucoup d’ados, j’étais à fond dans les séries et les films américains ; ceux qui m’ont marqué, c’était « High School musical », « Gilmore girls ».
J’avais des rêves d’adolescentes comme faire le tour du monde, épouser un américain…
J’avais des idées de métiers pleins la tête : maîtresse, puéricultrice, professeur d’anglais, sportive professionnelle, hôtesse de l’air…
Mais surtout j’avais des rêves secrets : être mariée jeune (à un homme formidable) et avoir six enfants.
Bon depuis je n’en veux plus autant et beaucoup de choses ont changé.
Après le bac
Bac en poche, je commence mes études supérieures en BTS tourisme.
Fini l’écriture, fini la lecture. Fini le journal et les carnets créatifs. Pas le temps pour ma créativité.
Ma première année d’études supérieures s’est terminée avec le début de ma grossesse.
La période de ma grossesse a été magique. Une divine expérience.
Mais de cette période jusqu’à l’entrée à l’école de mon fils, j’avais fait des mini dépressions. Je me choque en réalisant que j’avais osé jeter les meilleurs souvenirs de ma croissance créative (mes premiers journaux intimes, carnets de collages, en pensant que c’était du délire). Comment j’avais pu ?
Pendant ma grossesse, j’avais décidé de continuer vers des études de langues étrangères appliquées.
Pendant cette période à la faculté, j’avais persisté à devenir hôtesse de l’air, c’était une illusion, quand j’y pense encore . J’en rigole avec du recul. Tant de nostalgie.
Quand mon fils est rentré à la crèche, j’avais commencé une quête spirituelle après son baptême. Je voulais comprendre beaucoup de choses.
Quand quelque chose change…
J’avais commencé un premier blog spécial pâtisserie mais que j’ai fermé pour des raisons personnelles.
Quand mon fils est rentré à l’école, je finissais par choix une dernière année à la fac. En 2014, je commençais ma quête créative et mon développement personnel.
L’orage était de moins en moins présent, les vagues se calmaient petit à petit et il y avait moins de dégâts à nettoyer. J’apprenais de mes « illusions » du passé, de mon enfermement.
Ma quête créative a commencé car j’aspirais à me sentir mieux, à m’accepter avec mes faiblesses et mes limites, à me réconcilier avec mon enfant intérieur et certaines parties de mon histoire.
Ce qui m’a donné envie d’apprivoiser ma créativité et d’aller au plus profond, c’était l’arrivée des réalisations créatives de mon fils depuis la crèche.
Ensuite…
Ici, ce n’est pas une question de quête de popularité mais un partage d’authenticité, de richesse d’esprit.
C’est une sorte de défi, une expérience dans laquelle je me lance dans toute ma vulnérabilité.
J’ignore ce que le résultat sera. En ce qui me concerne, j’ai toujours cru que ce n’est pas le résultat de notre objectif qui compte le plus, c’est comment nous avons parcouru le chemin que nous avons choisi.
Oui, que nous avons choisi. Parce que finalement, la vie est une question de choix et aussi par quelle énergie nous avons traversé les moments de joies et de tristesses dans cette grande responsabilité de « faire un choix » et de l’accepter en tant que notre chemin de vie et rien d’autres, ni une épreuve, ni une coïncidence ou un hasard, ni une destinée déjà tracée mais un chemin de vie, tout simplement.
Ainsi à travers mes choix depuis ma tendre enfance qui ce sont plus ou moins éveillés et réveillés depuis quatre ans, je souhaite vous partager ma passion pour le développement personnel, l’art et la créativité.
Peut-être que cela va être un peu, juste un peu long mais ce n’est qu’une partie de mon histoire.
J’aurais encore tant à apprendre et à vivre…
Vous êtes des Lumières,
Déployez vos ailes et envoles-vous, Papillons ! Christina Jaka

2 commentaires sur “Ma biographie, Chap 1”